Coup d’État au Gabon : Le nouveau pouvoir autorise Ali Bongo « à se rendre à l’étranger »
Le président déchu du Gabon, Ali Bongo Ondimba, a reçu une lueur d’espoir alors que le nouveau pouvoir en place à Libreville a annoncé qu’il est désormais « libre de ses mouvements » et qu’il « peut se rendre à l’étranger afin d’y effectuer ses contrôles médicaux ». Cette décision a été prise en raison de l’état de santé préoccupant d’Ali Bongo, qui a été victime d’un grave accident vasculaire cérébral (AVC) en 2018. Depuis le coup d’État militaire du 30 août, au cours duquel les militaires ont renversé le président en exercice, Ali Bongo était en résidence surveillée. Ce putsch a été mené sans effusion de sang et a été déclenché après la proclamation controversée de la réélection d’Ali Bongo lors d’un scrutin qualifié de frauduleux par les putschistes. Le nouveau pouvoir, dirigé par le général Brice Oligui Nguema, accuse l’entourage familial d’Ali Bongo, dont son épouse et son fils, ainsi que des membres de son cabinet, d’avoir détourné massivement des fonds publics et d’avoir dirigé le pays de manière irresponsable. Sylvia Bongo, épouse d’Ali Bongo, est actuellement détenue au secret au Gabon, selon ses avocats parisiens. Le président de transition, le général Oligui, a promis de remettre le pouvoir aux civils à la fin de la période de transition, qui n’a pas encore de durée définie, et d’organiser des élections libres et transparentes.
Ali Bongo Ondimba « libre de se rendre à l’étranger » après le coup d’État au Gabon
Le président déchu du Gabon, Ali Bongo Ondimba, a été autorisé à quitter le pays par le général Brice Oligui Nguema, qui a dirigé le coup d’État militaire le 30 août dernier. Cette décision a été prise compte tenu de la santé d’Ali Bongo, qui a subi un AVC en 2018 et qui est en résidence surveillée depuis le coup d’État. Le général Oligui, qui est devenu président de transition, a déclaré qu’Ali Bongo était « libre de ses mouvements » et « pouvait se rendre à l’étranger pour y effectuer ses contrôles médicaux ». Cette annonce intervient deux jours après que le général Oligui a prêté serment en tant que président de la transition, promettant de « remettre le pouvoir aux civils » à l’issue de cette période, qui n’a pas encore de durée définie. Le coup d’État a été mené sans effusion de sang et a suivi la proclamation de la réélection controversée d’Ali Bongo lors d’un scrutin qualifié de frauduleux par les putschistes. Le général Oligui et son gouvernement de transition travaillent également à la libération de prisonniers d’opinion et au retour d’exilés politiques.
Le président déchu Ali Bongo Ondimba « libre de ses mouvements » au Gabon
Après le coup d’État militaire qui a renversé le président en exercice, Ali Bongo Ondimba, le général Brice Oligui Nguema, désormais président de transition, a annoncé qu’Ali Bongo était « libre de ses mouvements » et qu’il « pouvait se rendre à l’étranger pour y effectuer ses contrôles médicaux » en raison de son état de santé. Ali Bongo était en résidence surveillée depuis le coup d’État, qui s’est déroulé sans effusion de sang. Le général Oligui a prêté serment en tant que président de transition, s’engageant à « remettre le pouvoir aux civils » à la fin de la période de transition, qui n’a pas encore de durée précise. Le coup d’État a été déclenché après la proclamation controversée de la réélection d’Ali Bongo lors d’un scrutin considéré comme frauduleux par les putschistes. Le général Oligui a également travaillé à la libération de prisonniers d’opinion et au retour d’exilés politiques.
Ces trois articles mettent en lumière la situation au Gabon après le coup d’État militaire qui a renversé le président en exercice, Ali Bongo Ondimba. Le général Brice Oligui Nguema, désormais président de transition, a annoncé qu’Ali Bongo était « libre de ses mouvements » et pouvait quitter le pays pour des raisons médicales en raison de son état de santé préoccupant. Le coup d’État a suivi la proclamation controversée de la réélection d’Ali Bongo lors d’un scrutin qualifié de frauduleux par les putschistes. Le général Oligui a également promis de remettre le pouvoir aux civils à la fin de la période de transition, qui n’a pas encore de durée précise, et de travailler à la libération de prisonniers d’opinion et au retour d’exilés politiques. La situation au Gabon reste tendue, avec des allégations de corruption et de détournement de fonds publics pesant sur l’entourage d’Ali Bongo.